Les thérapies énergétiques ; Simple effet de mode ou utopie passagère?
Dans le collimateur de Miviludes ( Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires ) et souvent moquées par une certaine science médicale, les thérapies énergétiques on retrouvé une place de choix dans nos usages.
Nos grands-parents, eux, allaient chez les rebouteux pour « conjurer les vers » ou « couper le feu ». Ces pratiques, disparues dans les années 80, ont fait leur retour, cette fois-ci teintées d’influences New Age et orientales.
Il est donc facile de penser à une sorte de « génération spontanée, » comme si tout cela n’était qu’un simple effet de mode ou une utopie passagère, ou comme si seules les pratiques venues de pays lointains aux traditions dépaysantes n’avaient de valeur.
C’est méconnaître l’Histoire, et les apports des Anciens, y compris sur nos territoires Européens, qui connaissaient déjà l’existence des centres d’énergie, et les méthodes d’harmonisation. Du druidisme, au chamanisme des steppes, en passant par les traditions mystiques Chrétiennes, l’Alchimie, et l’énergétique originelle, de l’Egypte à la Grèce Antiques, de nombreux sages ont laissé des héritages séculaires, dont la plupart ont été « oubliés » avec la modernité et le progrès scientifique.
Alors que la science commence seulement à comprendre comment tout cela fonctionne, que les historiens imaginent que les Anciens étaient des hommes préhistoriques dénués de savoir, laissons nous redécouvrir les Origines Ancestrales des pratiques Energétiques.
La pratique des soins énergétiques regroupe un ensemble de traitements thérapeutiques dont l’usage remonte à l’Antiquité.
Elle vise à harmoniser la circulation du flux d’énergie dans les différents niveaux du corps, allant du plus dense (le corps physique, les tissus, les organes), aux plus subtils (l’aura ou champ morphogénique).
Selon de nombreuses traditions anciennes, le corps physique est énergie et mémoire. Il est constamment parcouru de vibrations dont le trajet suit un parcours précis à travers des portes, ayant chacune une fonction spécifique. Bien que chaque tradition ait son propre langage, on les nomme communément Chakras, Méridiens, Centres d’énergie, Nâdis, Portes de l’Âme, corps Ethériques etc… …
L’Organisation Mondiale de la Santé recense près de 400 techniques énergétiques dans le monde, chaque culture ayant su capter, interpréter et préserver des pratiques ancestrales où l’énergie subtile est au cœur de la santé. En France, un Français sur deux y a recours, révélant un retour en force de ces pratiques holistiques. En plongeant dans l’héritage des traditions ancestrales, du druidisme, de l’essenisme, du chamanisme, de l’Ayurvéda ou de la Médecine Traditionnelle Chinoise, nous découvrons une conception de la santé qui va au-delà du corps physique et qui redonne sa place à l’énergie vitale comme soutien essentiel de notre équilibre.
Il est important de dire que l’ensemble de ces techniques sont des pratiques de « Santé Holistique ». C’est à dire que contrairement à la médecine moderne, elles ne se concentrent pas sur la maladie. Elles prennent en compte tous les aspects de la vie : aussi, bien qu’on parle parfois de « guérison », en réalité il s’agit souvent de Rétablir l’équilibre interne et de prévention. L’énergétique permet notamment de déterminer les causes de déséquilibre. Pour ma part, je trouve stérile d’opposer les pratiques énergétiques ou naturelles (ou alternatives), à la médecine conventionnelle. Une approche coordonnées est très souvent efficace car le dialogue instauré entre le consultant et le praticien énergétique permet une prise en compte globale.
"Tout est énergie, et c’est là tout ce qu’il y a à comprendre dans la vie. Aligne-toi à la fréquence de la réalité que tu souhaites et cette réalité se manifestera. Il ne peut en être autrement. Ce n’est pas de la philosophie. C’est de la physique".
Les Racines Ancestrales de l’Énergie Vitale
Les pratiques énergétiques actuelles trouvent leurs fondements dans des traditions plurimillénaires. Qu’il s’agisse de l’Ayurvéda en Inde, de la Médecine Traditionnelle Chinoise (MTC) ou encore du chamanisme, ces cultures mettent en lumière une énergie subtile qui anime et soutient le corps physique, et qui prend des noms variés selon les régions : le Qi ou Chi dans le Tao, Prâna dans la tradition Indo-Tibétaine, Ki au Japon. Ces savoirs mettent en avant l’idée qu’au-delà des simples fonctions corporelles, le bien-être repose sur la circulation fluide et harmonieuse de cette énergie vitale.
Les Corps Subtils : Une Interconnexion Sacrée
Les anciennes traditions ne considèrent pas le corps humain comme un simple assemblage d’organes et de systèmes.
Autour de notre enveloppe physique, on retrouve différents corps subtils, formant ce que l’on nomme aujourd’hui l’aura. Bien que le nombre et la dénomination de ces corps varient selon les cultures, il est généralement accepté qu’ils sont reliés entre eux et interagissent constamment. Dans cette conception, chaque choc émotionnel, chaque souvenir d’incarnation ou mémoire ancestrale peut s’imprimer dans ces corps subtils, influençant ainsi notre état énergétique.
Les Déséquilibres Énergétiques : Quand l’Harmonie se Brise
Lorsqu’un choc ou un traumatisme survient, il laisse des empreintes dans nos corps subtils, désorganisant la circulation de l’énergie. Tant que ces enveloppes subtiles conservent leur intégrité, elles possèdent la capacité de rétablir leur équilibre et de purifier ces empreintes. Mais lorsque les corps subtils sont trop sollicités – par des émotions négatives répétées, des pollutions environnementales comme les ondes électromagnétiques, ou des événements traumatiques – ils peuvent atteindre un point de saturation.
Chakras et Méridiens : Les Mécanismes de Régulation de l’Énergie
Dans les traditions énergétiques, les chakras et les méridiens (ou nadis) sont décrits comme les points de convergence où l’énergie est captée, transmise et distribuée. Lorsque des blocages surviennent dans les corps subtils, la libre circulation de l’énergie s’en trouve entravée, diminuant l’activité des chakras et ralentissant le flux énergétique. Une baisse de l’énergie vitale s’ensuit, provoquant des symptômes divers – qu’ils soient physiques, émotionnels, ou même spirituels.
Les organes et les glandes associées aux centres d’énergie ne reçoivent alors plus le soutien énergétique nécessaire à leur bon fonctionnement. Il s’ensuit un dérèglement qui, à terme, peut générer des troubles affectant non seulement notre santé physique, mais aussi notre état mental et émotionnel.
